Les étudiants iraniens et leur situations actuelles en France

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En Iran, les situations critiques qui se sont produites après la mort de Mahsa Amini, une jaune fille qui a été battue par la police des mœurs en Iran, continue de s’aggraver. Ce dernier, exerce une influence indéniable sur les étudiants iraniens en Iran mais surtout sur les étudiants qui étudient en dehors de la frontières iraniennes. En France et à Strasbourg, les étudiants doivent faire face aux plusieurs situations difficiles. En voici quelques-unes :

Difficultés financières :

Les frais de scolarité en France peuvent être élevés pour les étudiants étrangers y compris les étudiants iraniens. En effet, Les frais de scolarité pour les étudiants étrangers sont souvent plus élevés que pour les étudiants français, et peuvent varier selon l’université et le type de programme. De plus, le coût de la vie en France, y compris le logement, la nourriture et les transports, peut être élevé dans certaines régions ce qui peut rendre difficile pour certains étudiants de subvenir à leurs besoins. Aussi, ses étudiants iraniens sont obligés la plupart du temps de chercher des emplois à temps partiel pour subvenir à leurs besoins, ce qui a des effets sur leur résultats universitaires également. Autrement-dit, ils seront obligés de rester au travaille pendant plusieurs heures et parfois de parcourir des longs chemins pour arriver au travail. Tous cela leur mène de ne pas participer à leur cours à l’université et donc ils vont avoir des mauvais résultats par rapport aux étudiants français.

Isolement social :

Étant donné que les étudiants iraniens sont loin de leur pays d’origine et de leur famille, il peut être difficile pour eux de s’intégrer socialement. En plus, les étudiants iraniens peuvent être confrontés à des préjugés et à la discrimination en raison de leur nationalité, de leur religion ou de leur culture, ce qui peut affecter leur bien-être psychologique et leur réussite académique. Beaucoup des étudiants ont décidé d’arrêter d’aller à l’université cette année à cause de la dépression. En effet, pendant les manifestations en Iran, ils ne pouvaient pas contacter leur famille et avoir des nouvelles de leur part et cela a eu des effets néfastes sur leur santé mental. De plus, ils se sentaient sous la pression académique pour réussir et obtenir de bonnes notes, ce qui était très stressant et exigeant pour eux. Ils faillaient continuer de vivre comme si rien n’est aussi mal dans leur vie et sans qu’ils soient compris par les autres.

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